dimanche 23 février 2020

atomic madness ☢️


"Vous dites que vous aimez vos enfants par-dessus tout,
  et pourtant vous volez leur avenir sous leurs yeux."

                                                                    Greta Thunberg

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Le déploiement du programme nucléaire français civil


Après le succès des réacteurs expérimentaux de Marcoule, Électricité de France est chargée de mettre en place le programme électronucléaire français. De 1963 à 1971, six réacteurs sont mis en service à la centrale nucléaire de Chinon, à la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux et à la centrale nucléaire du Bugey. En fin de période, le nucléaire fournit 5 % de l'électricité produite en France.

Le centre de Cadarache, près de Manosque, est créé en 1960. Il permettra l'édification des centrales à partir de la deuxième et de la troisième générations de réacteur à eau pressurisée (REP). Cette filière de production sera choisie par le gouvernement Jacques Chaban-Delmas pour équiper la France, et sera exploité en France à partir de 1977.

La Vème République marque le déclin environnemental de la France

Le conflit israélo-arabe et le premier choc pétrolier vont pousser le gouvernement français à privilégier le nucléaire civil et à accélérer son déploiement. À partir d'un partenariat avec la société américaine General Electric, la filière française s'organise autour de la société Alstom (à l'époque Alsthom Atlantique) et Framatome. Outre les tranches de production d'électricité, la France se dote d'une structure d'enrichissement de l'uranium avec l'usine Georges-Besse (aussi connue sous le nom d'Eurodif) pour la fabrication du combustible. Pour le combustible consommé, elle réalise l'Usine de retraitement de la Hague.

À partir de 1978, l'affaire de Plogoff, où il s'agissait de construire une centrale nucléaire auprès de la Pointe du Raz, favorise l'émergence d'un mouvement antinucléaire civil.

L'industrie française du nuclaire s'émancipe de son partenariat avec les sociétés américaines. Ainsi, dans les années 1980, Framatome commence à développer ses propres modèles de réacteurs.

Toutefois, la catastrophe nucléaire de Tchernobyl et la crise économique persistante remettent profondément en cause l'élan français. Durant le mandat du président François Mitterrand, les chantiers en cours sont menés à terme, mais aucune nouvelle centrale n'est commencée. La France participe et s'engage dans un programme contraignant de protection, en appliquant la Convention sur la sûreté nucléaire par un décret d'octobre 1996.

À partir des années 2000, les enjeux du nucléaire français se trouvent à l'extérieur de la France. À cause de la crise, l'offre intérieure est en surcapacité. Framatome renforce la compétitivité mondiale de son pôle nucléaire. Dans cet objectif elle se restructure et devient Areva, enfin Orano en 2018. En 2003 l’électricien finlandais Teollisuuden Voima Oyj (TVO) la choisit pour construire un réacteur pressurisé européen, un chantier phare. Mais il dépasse largement ses coûts et son planning. Devant cet échec, la société s'oriente vers la réalisation de centrales de plus petite capacité.

En mars 2011, un nouvel accident, à Fukushima, au Japon provoqua encore une fois d'importantes inquiétudes sur la sécurité de la filière. L'évolution de l'industrie nucléaire en France après l'accident de Fukushima a toutefois été de la confirmer à son rang par le gouvernement, après une évaluation complémentaire de sûreté, en renforçant encore la prévention et en approfondissant les capacités de réaction lors d'un accident majeur.

DÉCHETS RADIOACTIFS


Un déchet nucléaire, qu’est-ce que c’est ?

Lorsqu’on parle de « déchets nucléaires », on rassemble en fait sous une même expression une grande quantité de déchets très différents. Cette appellation peut concerner le combustible usé, la combinaison d’un agent d’EDF, ou encore un chariot provenant d’une mine d’uranium… Le point commun de tous ces déchets est d’être radioactif. Mais cette radioactivité diffère d’un déchet à l’autre, tout comme leur durée de vie.

Certains resteront radioactifs pendant quelques mois… mais d’autres seront nocifs pour des durées incomparables avec une vie humaine : des milliers, voire des millions d’années. Certains, comme les restes les plus dangereux du combustible usés, peuvent tuer une personne qui resterait une heure près d’eux.

Source : https://www.sortirdunucleaire.org/Dechets-28198

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Selon le CGDD (2019) Avec 13 % des réacteurs mondiaux en fonctionnement la France avait accumulé en 2013 près de 1,5 million de m3 de déchets radioactifs (1/5ème des déchets nucléaires mondiaux, soit 19 %). Avec le vieillissement des centrales et les premiers démantèlements ce volume a augmenté de 58 % en moins de 15 ans (de 2002 à 2016, et selon l'ANDRA le volume de 1,6 million de mètres cubes en 2017.


La gestion de ces déchets est régie par la loi Bataille de 1991, modifiée en 2006 (loi no 2006-739 du 28 juin 2006 de programme relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs). Elle est confiée à l'ANDRA et s'appuie sur le plan national de gestion des matières et des déchets radioactifs. Ce plan est prévu par l'article 6 de la loi Bataille (codifié à l’article L. 542-1-2 du code de l'environnement) ; sa seconde version date de 2010. Il doit être révisé tous les 3 ans. Ce plan prévoit une gestion différentiée des déchets, adaptée à leur dangerosité et durée de « vie radioactive », avec 5 catégories de déchets : haute activité (H-A, 0,2 % du volume total en 2009), moyenne activité à vie longue (MA-VL, 3,6 % en 2009), faible activité à vie longue (FA-VL, 7,2 % en 2009), faible et moyenne activité à vie courte (FMA-VC, 68,8 % en 2009), très faible activité (TFA, 20,1 % en 2009).

Source : https://www.sortirdunucleaire.org/IMG/pdf/journal-dechets-v2-web.pdf

En 2017, l'inventaire de l'ANDRA renseigne 1,6 million de mètres cubes de déchet nucléaires (le détail donne H-A : 3 740 m3 ; MA-VL : 42 800 m3 ; FA-VL : 93 600 m3 ; FMA-VC : 938 000 m3 ; TFA : 537 000 m3 ; DSF: 1 770 m3). Ce sont les chiffres habituellement mentionnés par les médias. Pour les déchet de faible activité à vie longue (FA-VL) le chiffre de 93 600 m3, représente moins de 0,4% du volume réel. Selon la CRIIRAD sont en effet « oubliés » 282 000 m3 de boues radioactives de l'usine Orano Malvési et plus de 23 millions de m3 de déchets issus de la lixiviation dynamique du minerai d’uranium, etc. « Au final, il n’y a pas 1,6 million de m3 de déchets radioactifs en France, mais de l’ordre de 200 millions de mètres cubes ».


En 2010, la France évaluait à 1 320 000 m3 son volume de déchets radioactifs, en 2015 à 1 540 000 m3. et cette quantité devrait s'élever à 2 700 000 m3 d'ici 2030 selon l'ANDRA. Ils proviennent principalement des installations nucléaires de base ou d'installations nucléaires de base secrètes, et secondairement de divers usages industriels et médicaux.

La quantité de déchets pourrait être multipliée par trois dans l'hypothèse d'un démantèlement rapide des centrales en fin de vie. Dans cette hypothèse, les capacités actuelles de stockage pour les déchets de faible activité à vie longue s'avéreraient insuffisantes à terme.


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Accidents Nucléaires Majeurs 


La catastrophe nucléaire de Tchernobyl est un accident nucléaire majeur qui a commencé le 26 avril 1986 dans la centrale nucléaire V.I. Lénine, située à l'époque en République socialiste soviétique d'Ukraine en URSS. Il s'agit de la plus grave catastrophe nucléaire du XXème siècle, classée au niveau 7, le plus élevé, de l'échelle internationale des événements nucléaires (INES), surpassant, d'après l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), par ses impacts environnementaux immédiats l’accident nucléaire de Fukushima de 2011, classé au même niveau. L’IRSN mentionne pour ces accidents des effets sanitaires potentiels, une contamination durable de territoires et d’importantes conséquences économiques et sociales.

L'accident a été provoqué par l'augmentation incontrôlée de la puissance du réacteur N°4 conduisant à la fusion du cœur. Cela a entraîné le craquage de l'eau des circuits de refroidissement conduisant par la suite à une explosion et la libération d'importantes quantités d’éléments radioactifs dans l’atmosphère, provoquant une très large contamination de l'environnement, et de nombreux décès et maladies survenus immédiatement ou à long terme du fait des irradiations ou contaminations.


Les conséquences sanitaires de la catastrophe de Tchernobyl, controversées, sont importantes aussi bien sur le plan sanitaire, écologique, économique que politique. Plus de 200 000 personnes ont été définitivement évacuées. Le nombre de morts directement liés à la catastrophe, objet de controverses, varie selon les sources de 200 (décès d'origine radiologique avérés officiellement constatés par les Nations unies) à un peu moins d'un million. En 2016, l’Ukraine a formellement reconnu 35 000 décès directement liés à Tchernobyl. D'autres estimations font état de 150 000 « liquidateurs » morts sur les 350 000 d’Ukraine.

Gorbatchev, secrétaire général du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique au moment de la catastrophe, affirme en 2011 : « Nous n'avons pas encore pris toute la mesure de cette tragédie ».



L'Accident nucléaire de Fukushima, également désignée comme la catastrophe nucléaire de Fukushima, est un accident industriel majeur qui a débuté le 11 mars 2011 au Japon, à la suite du tsunami de 2011.

Il s'agit de la plus grave catastrophe nucléaire du XXème siècle, classée au niveau 7, le plus élevé sur l'échelle internationale des événements nucléaires (INES), au même degré de gravité que la catastrophe de Tchernobyl (1986), en particulier par le volume important des rejets radioactifs. L'accident nucléaire de Fukushima est ce qu’on appelle au Japon un Genpatsu-shinsai, un accident combinant les effets d'un accident nucléaire et d'un séisme. Le tsunami consécutif au séisme a mis hors service le système de refroidissement principal de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, entraînant la fusion des cœurs des réacteurs 1, 2 et 3 ainsi que la surchauffe de la piscine de désactivation du réacteur 4.

Cet accident a des répercussions importantes sur l'environnement et la santé dans le monde ainsi que pour l'industrie nucléaire mondiale. Il présente aussi la particularité de poser de nouveaux enjeux pour le Japon, notamment en ce qui concerne son approvisionnement électrique, son industrie nucléaire, l'état de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi et le traitement sanitaire et social de la catastrophe.

Hors service depuis l'accident, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi devra être démantelée sur une durée évaluée initialement à quarante ans, pour un montant estimé en 2016 à environ 60 milliards d'euros (8 200 milliards de yens).

Pour éviter de nouveaux dommages, les réacteurs doivent être refroidis en permanence. Chaque jour, 200 m3 d'eau sont déversés sur la centrale. Devenue elle-même radioactive, cette eau est ensuite stockée. À cette fin, un millier de gros réservoirs ont été construits. En 2019, un million de m3 d'eau contaminée sont stockés mais selon Tepco, l'exploitant du site, celui-ci aura atteint sa capacité maximale en 2022. Des débats ont lieu, visant à déterminer que faire de l'eau jusqu'à présent stockée. Une des solutions envisagées est de la déverser dans le Pacifique, ce qui suscite de vives discussions.


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Encore plus débile que le nucléaire civil : le nucléaire militaire !


Est-ce qu'une nation européenne nous menace ? Non, nos frontières sont ouvertes depuis la convention de Shengen.
Est-ce qu'une nation africaine nous menace ? Non.
Est-ce qu'une nation arabe nous menace ? Non. Israël ? Non.
Est-ce que les USA, la Reine d’Angleterre, la Russie ou la Chine nous menacent ? Non.
L'Océanie peut-être ou des nazis qui vivraient cachés sur la lune ?

Le concept de force de dissuasion s'apparente à une ligne Maginot où l'atome aurait remplacé le béton. Son premier résultat est la quasi démilitarisation de notre pays avec une armée fantôme sous équipée qui engloutit néanmoins une part considérable du budget de l'état.

"Le budget 2020 des Armées a été voté ce mercredi 31 octobre 2019 par les députés." (1)

(1) En hausse de 4,5 %, le budget de la Défense atteint 37,5 milliards d’euros pour financer des programmes d’armement, notamment le renouvellement de blindés et le remplacement du Famas."

Quelles solutions apportent les armes nucléaires contre le terrorisme ? Aucune.
"Dix-huit ans après le lancement par les Etats-Unis de la « guerre globale contre la terreur », les victoires remportées en Afghanistan et en Irak n’ont nulle part permis d’éradiquer la menace jihadiste."

Voir aussi :



La force de dissuasion nucléaire française, aussi nommée force de frappe, désigne les systèmes d'armes nucléaires dont la France dispose dans le cadre de sa stratégie de dissuasion nucléaire. La France est l'un des neuf États qui possèdent l'arme nucléaire au début du XXème siècle. Elle est le quatrième pays à avoir développé des armes nucléaires après les États-Unis, l'Union soviétique et le Royaume-Uni.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, le général de Gaulle crée le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) pour effectuer des recherches sur l'énergie nucléaire. En pleine guerre froide, le lancement véritable du programme nucléaire français intervient en 1954 sous l'impulsion de Pierre Mendès France. De retour au pouvoir en 1958, de Gaulle confirme l'ordre d'expérimenter l'arme nucléaire et lance la fabrication en série du premier vecteur nucléaire, le bombardier Mirage IV.

Tête nucléaire aéroportée
https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%AAte_nucl%C3%A9aire_a%C3%A9roport%C3%A9e
La France réalise son premier essai d'une bombe atomique à fission (bombe A) sous le nom de code Gerboise bleue le 13 février 1960, puis son premier essai d'une bombe à fusion thermonucléaire (bombe H) sous le nom de code Canopus le 24 août 1968. La France mène 210 essais nucléaires entre 1960 et 1996, année de son dernier essai en Polynésie française.

La France dispose de 280 têtes nucléaires déployées et de 10 à 20 autres en réserve, soit un total de 300 armes nucléaires.


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Les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki, ultimes bombardements stratégiques américains au Japon, ont lieu les 6 août et 9 août 1945 sur les villes d'Hiroshima (340 000 habitants) et de Nagasaki (195 000 habitants). Hiroshima est le siège de la 5e division de la deuxième armée générale et le centre de commandement du général Shunroku Hata, et Nagasaki est choisie pour remplacer la cité historique de Kyoto.

Dans la mesure où les dirigeants japonais ont rejeté les conditions de l'ultimatum de la conférence de Potsdam, les États-Unis souhaitent imposer au Japon sa reddition sans condition, l'éviction de l'empereur Hirohito et l'adoption d'un régime politique démocratique. Le gouvernement américain souhaite aussi, puisque ces deux armes nouvelles sont désormais opérationnelles (l'une était à l'uranium, l'autre au plutonium), les tester en grandeur nature et montrer aux autres pays, en particulier à l'URSS, la supériorité de feu décisive qu'elles donnent à l'Amérique, ce qui fait de ce bombardement l'acte inaugural de la guerre froide. Ces bombardements, que certains considèrent comme l'un des principaux crimes de guerre des Alliés, demeurent la seule utilisation de l'arme nucléaire durant un conflit.

La bombe d'Hiroshima

Le 6 août 1945, à 8 h 16 min 2 s, après environ 43 secondes de chute libre, activée par les capteurs d'altitude et ses radars, elle explosa à 580 mètres à la verticale de l'hôpital Shima, en plein cœur de l'agglomération, à environ 300 m au sud-est du pont initialement visé, libérant une énergie équivalente à environ 15 000 tonnes de TNT. L'explosion tua instantanément des dizaines de milliers de personnes et détruisit tout sur environ 12 km2.

Une énorme bulle de gaz incandescent de plus de 400 mètres de diamètre se forma en quelques fractions de seconde, émettant un puissant rayonnement thermique. En dessous, près de l'hypocentre, la température des surfaces exposées à ce rayonnement s'est élevée un bref instant, très superficiellement, à peut-être 4 000 °C. Des incendies se déclenchèrent, même à plusieurs kilomètres. Les personnes exposées à cet éclair furent brûlées. Celles protégées à l'intérieur ou par l’ombre des bâtiments furent ensevelies ou blessées par les projections de débris quand quelques secondes plus tard l'onde de choc arriva sur elles. Des vents de 300 à 800 km/h dévastèrent les rues et les habitations. Le long calvaire des survivants ne faisait que commencer alors que le champignon atomique, aspirant la poussière et les débris, entamait son ascension de plusieurs kilomètres.


Les victimes

Le Département de l'Énergie des États-Unis (DOE) avance les chiffres de 70 000 personnes pour Hiroshima et de 40 000 personnes pour Nagasaki. Pour sa part, le musée du mémorial pour la paix d'Hiroshima avance le chiffre de 140 000 morts, pour la seule ville d'Hiroshima. Selon l'historien Howard Zinn, le nombre de victimes atteint 250 000. À celles-ci s'ajoutent les morts causées ultérieurement par divers types de cancers (334 cancers et 231 leucémies sur la population suivie, moins de 2 000 au total selon une source américaine) et de pathologies.


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L'épée de Damoclès (1)


Cette page sera mise à jour au prochain accident nucléaire majeur ou encore à l'occasion d'une attaque nucléaire terroriste ou militaire si nous sommes encore en vie et que les infrastructures électriques et de l'internet soient encore fonctionnelles.

(1) Damoclès est une figure présentée dans une allégorie morale dite de « l'épée de Damoclès ». Cette expression est utilisée pour signifier qu'un danger constant peut nous frapper.


"Les trois sociétés de constructions de bunkers en France enregistrent un boom des demandes, comme les fabricants de masques à gaz ou d'aliments lyophilisés", remarque le sociologue Bertrand Vidal, qui analyse ce phénomène depuis 2012. Ainsi, la société américaine Vivos, qui commercialise des places dans un bunker souterrain grand luxe en Allemagne, atteste d'une hausse de 800% des demandes émanant de Français, depuis quelques mois. Il faut dire qu'on part quasiment de zéro : nous sommes l'un des pays d'Europe les moins bien fournis, avec seulement 600 abris anti-atomiques militaires, 300 à 400 privés... ce qui place notre "taux de protection" près du 0%, contre 50% aux Etats-Unis, 70 % en Chine, en Suède et en Russie. 100 % en Israël et 104% en Suisse... où on a quasiment inscrit le survivalisme dans les normes de construction dès 1963, en imposant la construction d'un abri avec chaque maison ! Depuis, cette obligation n'est plus légale, mais pour s'en dispenser, il faut verser une taxe dissuasive. La Confédération compte donc entre 300.000 et 400.000 bunkers privés et publics, capables d’accueillir plus de 8,6 millions d’individus.

Source : https://fr.foncia.com/mon-guide-immo/actualite/abri-anti-atomique-une-hausse-de-800-des-demandes-en-france

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La Parisienne Libérée


«La Météo Nucléaire» - https://youtu.be/smztiwprPtY

Le péril nucléaire est le premier enjeu auquel doit faire face l'humanité car il menace à chaque instant la totalité du vivant en tout point de la planète. L'obsolescence des sites de production, la croissance exponentielle des déchets ou encore l'expertise des terroristes face à une sécurisation dérisoire des sites sensibles font que l'éminence d'une nouvelle catastrophe mortifère localisée ou universelle grandit à chaque instant. 
À quel moment le Peuple souverain a-t-il donné son accord à tout cela ? Jamais.

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